Le passage de l’évangile de ce dimanche mentionne que Jésus avait saisi la main de la belle-mère de Simon et aussitôt la fièvre la quitta.
Puis il est dit que la ville entière se pressait à la porte et que Jésus expulsa beaucoup de démons.
L’enseignement de Jésus portait du fruit et nombreux étaient ceux qui conscients de leurs fautes, se précipitaient pour rencontrer Jésus.
Aujourd’hui comme hier beaucoup souffrent mais peu nombreux sont ceux qui cherchent la guérison soit par ignorance ou soit par indifférence ou encore par manque de volonté. Que c’est dommage !
Le curé d’Ars disait : « Je sais que nous sommes faibles, que nous pouvons tomber dans le pêché. Cependant c’est notre faute, parce que le Bon Dieu ne nous refuse pas sa grâce. Mais rester dans le pêché après l’avoir commis, ayant tous les moyens d’en sortir, est une chose que je n’ai jamais pu comprendre. »
Prenons le temps de nous arrêter et de prendre conscience que le sacrement de la réconciliation est un sacrement qui nous libère de la tristesse et qui nous donne la véritable paix intérieure. Posons-nous la question suivante : à quand remonte ma dernière confession ? Puis demandons à l’Esprit Saint la force pour recevoir le sacrement. Il en résultera une très grande joie.
Père Patrick Giraud+